Jusqu'à quand allons-nous tenir? Jusqu'où pouvons-nous aller? Quel degré de souffrance
sommes-nous prêts à supporter?
La personne qui nous malmène le plus, qui n'a aucune compassion pour nous et qui nous aime
le moins, c'est nous même. On roule souvent dans les mêmes ornières, préférant une situation
dysfonctionnelle connue à une éventuelle amélioration.
On parle souvent de "se faire aider", non, il s'agit de s'aider soi-même.
Il s'agit de s'autoriser à aller mieux, de se trouver digne de se prendre en main pour,
enfin, décider de réagir.
Il n'existe pas de situation ou d'état d'être qui soient permanents et immuables. Tout
change et se transforme autour de nous et en nous. Rien n'est jamais acquis.
Nous devons nous adapter à la nouveauté, aux changements et aux évolutions. Nous devons même
le plus souvent en nous accommoder. Ces expériences progressivement nous font évoluer et
nous aussi nous changeons.
Refuser le changement, lui résister, c'est comme nager à contre-courant. C'est illusoire,
inefficace, épuisant et décourageant.
Le stress est une réaction d’adaptation à ces modifications. Il
permet à notre organisme de maintenir les constantes biologiques de son milieu intérieur et
également son équilibre émotionnel. Il est la réponse physiologique et psychologique aux
changements, aux contraintes, aux agressions internes ou externes.
Lorsque survient un évènement perturbateur physique (faim, froid, douleur…) ou psychologique
(frustration, conflit, perte, souffrance, fortes émotions…), nous nous mettons immédiatement
en tension, nous sommes en état d'alerte.
Pour faire face (résister, fuir, attaquer…), notre organisme secrète de l'adrénaline qui lui
permet de mobiliser toutes ses ressources, toute son énergie. Il est sur-stimulé, prêt à
répondre à la situation, il s'est adapté.
À ce rythme-là il consomme énormément d'énergie et nous nous fatiguons vite et beaucoup.
Rapidement nous sommes complètement vidés de toute énergie. C'est le contrecoup,
l'épuisement.
Le stress est une réaction physiologique normale et nécessaire, quelques
fois même salutaire. Mais il met à mal l'organisme, aussi bien physiquement que
psychiquement. S'il est trop intense ou prolongé il devient un facteur de risque. Ses
conséquences peuvent être alors destructrices et graves pour nos organes ou fonctions les
plus fragiles. Et il perturbe aussi notre psychisme et nos comportements.
"Il n'est pas de meilleur remède que celui qui réussit."
Nous avons tous nos propres pratiques pour évacuer les tensions et gérer notre stress, mais
elles peuvent s'avérer insuffisantes.
La première des pratiques conseillées est d'avoir une bonne hygiène de vie (respiration,
sommeil, alimentation, absence d'excitants, activité physique, détente…).
Pour aider à la régression des troubles organiques et fonctionnels provoqués ou majorés par
le stress et pour le prévenir, il est bon aussi de s'appuyer sur une ou deux techniques qui
nous correspondent. Ici sont proposées trois pratiques que sont la
Réflexologie, la Trame et le
Reiki et Reiki Karuna. Elles
s'adressent à tous, à tous les âges.
Il est aussi nécessaire d'adapter nos propres
perceptions et ressentis. Nous devons ajuster nos points de vue sur notre environnement et
ceux qui nous entourent, et rectifier nos manières d'agir.
Tous les désordres, dérèglements et douleurs qui se manifestent sous l'effet du stress,
lorsque nous sommes sous pression, surmenés ou anxieux, sont notoirement améliorés par la
Réflexologie, la Trame ou le
Reiki et Reiki Karuna.
C'est le cas des troubles et douleurs musculo-squelettiques et articulaires, mais aussi
digestifs, respiratoires, hormonaux et des affections cutanées. C'est le cas également des
troubles de l'attention, de l'humeur, du sommeil, de la fatigue ou des migraines. La
circulation, le drainage et l'élimination sont stimulés.
Le corps est incité à se détendre. Il se relâche, dénoue les crispations, évacue les
tensions, et retrouve ses capacités naturelles à s'adapter. Les fonctions de l'organisme
sont améliorées.
Ce mieux-être se répercute sur le psychisme qui à son tour est plus détendu. Les émotions
sont plus équilibrées, les comportements plus harmonieux, les énergies plus positives, plus
fluides. L'adaptabilité est plus aisée.
L'amélioration est globale et significative. Elle se fait dans la limite des ressources de
chacun et se produit plus ou moins rapidement selon l'ancienneté des troubles. Enfin, ces
pratiques sont un support appréciable lorsqu'elles accompagnent des soins médicaux longs ou
des traitements lourds.